11 mai 2007

7 - La Tunisie des pistes berbères - LE RETOUR

Vendredi 4 MAI 2007
Nefta – Gabès – Matmata – Djerba.



Nous partons de bonne heure pour Gabès où nous visitons le marché aux épices « la Jara » où se côtoient de multiples odeurs et couleurs.


Une halte à Matmata se fait sentir. Obligation de visiter une maison troglodyte habitée par les berbères.



Le couloir d'accès à la cour


La maîtresse de maison



nous fait les honneurs et nous sert un délicieux, non, pas couscous, un thé à la menthe agrémenté de non moins savoureux pain arabe trempé dans du miel.



Mmmmmmmmmmmm !!!!!!.

Salut les filles!!!!!!!!

Ces habitations sont taillées dans la masse des collines, une cour centrale à ciel ouvert,


et des pièces réparties autour de ce puits de lumière.
et la salle de bain.
Bourguiba avait en son temps été émus de la misère de ces gens après un survol en hélico et avait décidé la construction d’une villa moderne dans la vallée, d’autant que le vieux village avait lui aussi souffert du déluge. La nouvelle ville étant trop loin, et située dans une plaine chauffée à blanc par le soleil, peu de berbères avaient suivi ou étaient revenus à leurs racines.


Déjeuner à l’ancienne Matmata : bon vous s’avez deviné. Puis Départ pour l’île de jerba. Embarquement sur le bac

avec un car d’israélites qui arrive, surprotégés par une cohorte de gardes et policiers sirènes hurlantes (bonjour la discrétion), cause pâques juives à Djerba.


Installation à notre cher hôtel Dar-Yassine où nous ingurgitons un COUSCOUS.


Samedi 5 mai 2007
Djerba

Nous sommes livrés à nous. Nous n’avons plus ces charmants accompagnateurs.
Nous décidons que la matinée sera consacrée au repos et aux emplettes.
L’après midi, après un antépénultième COUSCOUS nous décidons de visiter le musée des traditions de Guellala bien plus intéressant que celui de Tozeur. Nous commandons trois taxis pour ce déplacement.


L’un des chauffeurs compréhensif (retenez son numéro le « 407 » si vous y allez, il est plus que sympa) nous propose de nous guider dans la visite et de faire attendre ses collègues pour un prix plus que modique pour deux heures de visite. Nous n’avons pas été déçus. Au contraire. Il nous avait promis une surprise.

Il nous conduit toujours avec ses collègues chez le truculent potier Ali Berber qui nous fait les honneurs avec sa verve de son établissement vieux de plus 300 ans.

Si vous allez à Djerba, de grâce, ne restez pas allongés sur le sable pollué par les crottes de dromadaires. Vous n'allez pas me croire, mais il est dans le guide du routard. C'est vérifié.
coucou!!! Bernadette!!!
Prenez le temps de visiter l’île, elle n’est pas si grande qu’elle en a l’air. Elle vaut mieux qu’une bronzette.



Bien sûr nous n’oublierons pas le soir venu avant de nous coucher de prendre un dernier COUSCOUS entre nous tous.

Alors que nous nous envolons tôt de Djerba vers la mère patrie et ses savoureux steaks frites, nos amis, Yvette et Maurice, Alain et Solange changent d’hôtel pour rester une semaine encore sur l’île. Ils doivent aimer les couscous, eux.

2 commentaires:

  1. je vais m'entrainer à faire le couscous ! on ne sait jamais des fois que tu passerais par chez moi ;)

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  2. D'ici là wictoria, je me serai remis à l'aimer. Mais c'est toi qui dois passer à la maison. Tu t'en souviens?

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Vince "Africantal"