Mardi 1er mai 2007
Ksar-Ghilane – Douz.
Réveil dans le calme des dunes. La gentille Yvette dépose sur nos lits pliants des brins de muguet qu’elle avait pensé emmener.
Ksar-Ghilane – Douz.
Réveil dans le calme des dunes. La gentille Yvette dépose sur nos lits pliants des brins de muguet qu’elle avait pensé emmener.
Sympa comme attention!
Départ pour Ksar-Ghilane par les pistes sahariennes bordées de regs
Départ pour Ksar-Ghilane par les pistes sahariennes bordées de regs
et d’ergs plantés de herbes destinées à fixer les sables.
je vous laisse contempler les paysages,
la végétation
et la faune
Au bout de plusieurs dizaines de kilomètres, quelques éléments permettent de voir que nous approchons du but.
Une touche de modernisme dans cet univers sauvage. Dommage pour notre regard, mais un bienfait pour la poulation berbère qui n'est plus aussi isolée.
Et nous sommes à Ksar Ghilane
Ksar-Ghilane est un magnifique oasis marquant le début du Sahara.
Elle marquait la fin de l’empire romain. Sa palmeraie est remarquablement entretenue. Il comporte un campement « berbère » grand luxe avec tentes individuelles climatisées.
Du haut d’une tour monumentale aux escaliers entrecroisés (superbe)
Puis nous repartons pour Douz où nous nous installons à l’hôtel saharien et ses quatre piscines.
Déjeuner COUSCOUS. L’hôtel est envahi de touristes « parlant le cyrillique ». Curieux, vu les prix des voyages et des frais connexes à ces longs voyages qu’un peuple affamé il y a quelques années, qui faisait la queue devant les commerces, puisse afficher un telle luxe en si peu de temps. Nous nous sommes posé la question. Nos guides ont la réponse et je ne vous la dirai pas.
En fin de journée nous partons pour une promenade à dos de dromadaires pour les uns,Coucher de soleil sur la palmeraie qui s’endort.
Elle marquait la fin de l’empire romain. Sa palmeraie est remarquablement entretenue. Il comporte un campement « berbère » grand luxe avec tentes individuelles climatisées.
Du haut d’une tour monumentale aux escaliers entrecroisés (superbe)
On peu contempler de tous cotés le désert ou la steppe sableuse.
Certains d’entre nous se baignent dans la source d’eau chaude, d’autres font des photos
Puis nous repartons pour Douz où nous nous installons à l’hôtel saharien et ses quatre piscines.
Déjeuner COUSCOUS. L’hôtel est envahi de touristes « parlant le cyrillique ». Curieux, vu les prix des voyages et des frais connexes à ces longs voyages qu’un peuple affamé il y a quelques années, qui faisait la queue devant les commerces, puisse afficher un telle luxe en si peu de temps. Nous nous sommes posé la question. Nos guides ont la réponse et je ne vous la dirai pas.
En fin de journée nous partons pour une promenade à dos de dromadaires pour les uns,
ou calèches pour les autres dans les dunes à Saafrane et son vieux village enseveli sous les sables.
Et de retout à l'hôtel pour nous refaire une santé nous participons au diner .Dîner : COUSCOUS.
une question me brûle...aimes-tu le couscous LOL !
RépondreSupprimerOui Wictoria je l'adooooooooore.
RépondreSupprimerMais trop c'est trop.
http://tunisie-harakati.mylivepage.com
RépondreSupprimerEt le peuple tunisien, à ton avis il est heureux ?
J'aime pas trop le signatures "Anonyme".
RépondreSupprimerCependant je te souhaite la bienvenue sur mon blog.
C'est vrai je n'ai pas abordé le côté étude de la population. j'ai bien remarqué Pourtant que les habitants (tunisiens comme marocains dans chaque pays) nous abordent avec des sourires un peu forcés lorsqu'ils doivent avoir un contact avec le touriste.
Pour avoir lu pas mal d'articles sur la tunisie avant et après le voyage je sais que l'autochtone
n'est pas heureux dans ce pays. Comme dans beaucoup d'autres. Si tu suis un peu l'actualité en France tu verras qu'une grande majorité de mes concitoyens n'arrête pas de râler.
Nous avons pourtant discuté avec nos guides qui ne nous ont pas donné beaucoup d'indications sur le social tunisien. le sujet semble tabou.
Par ailleurs n'étant pas une ONG je ne vois pas à quel titre j'ai à me mêler de la politique dans un pays qui m'accueille.
pour ce qui est du contact avec l'aborigène il faut reconnaitre que
les colonisation, décolonisation,
conflit périphérique à la guerre d'Algérie (épisode de Bizerte)ainsi que d'autres conduites déplorables des français ne nous fait pas passer pour des gens fréquentables à vos yeux et impose une distance entre vous et nous.
Le peuple Tunisien est il heureux?
Je ne sais pas.
Lorsque nous traversons les villages et nous rendons dans des commerces, à part les gentils
"bienvenue chez nous, faites comme chez vous mais n'oubliez pas que vous êtes chez nous" les échanges sont plutôt restreints.
Je ne pense pas avoir répondu à ta question. j'aurais aimé avoir des échanges avec ton peuple. Mais visiter un pays en une semaine et tout voir, tout gouter, tout ressentir, avoue que c'est pas très possible. Et je ne suis pas sûr que d'une région à l'autre les rapports entre vous et nous soient les mêmes.
Maintenant je vais voir ton site ou ton blog.
Amicalement.