Réglez ce problème entre vous je ne veux plus en entendre parler. Les lois de la savane exigent quelques sacrifices de part et d'autre. Guide les comme le font tes ancêtres depuis que Gondwana n'est plus que la moitié de lui-même ».
Lorsqu'elle entendit ces mots Mosi-oa-Tunya (la fumée au bruit de tonnerre) cette gigantesque cataracte que les Anglais nommeront plus tard Victoria falls. fit entendre sont grondement de protestation. Ce qui redonnât du courage Kanthal-borol.
« Kanthal-borol ! N'as-tu pas honte de frapper un ennemi à terre, un ennemi passablement affaibli par l'âge et les batailles pour la prédominance ? »
Il est dit que par la suite Reine Nature dépêchât une troupe de hyènes pour veiller à la propreté des lieux. Leur action fût des ce bel aspect tondu et ces arbres épars.
Ce qui est certain, c'est que N'Khozé-Le pitoyable n'est pas mort . Il se terre et guette le moment propice pour commettre de nouvelles mauvaises actions.
Lorsqu'elle entendit ces mots Mosi-oa-Tunya (la fumée au bruit de tonnerre) cette gigantesque cataracte que les Anglais nommeront plus tard Victoria falls. fit entendre sont grondement de protestation. Ce qui redonnât du courage Kanthal-borol.
Il cria alors le nom de « En-gaï » ce dieu du ciel siégeant au sommet du oldonyo Lengaï pour implorer son aide. Sa supplique fut sans résultat immédiat. En-gaï entendait mais ne voyait rien. Les pieds du volcan étaient dans la brume qui lui cachait la misère de son peuple ongulé. « Je connais N'Khozé-Le-Sanguinaire. C'était un chef de clan redouté. Mais de jeunes batailleurs lui ont volé sa place et l'ont détrôné. Ils lui ont laissé la vie sauve mais il doit garder le contrôle du passage de l' Orangi. Je viendrai me rendre compte par moi-même. Va ! »
Lorsque Kanthal-borol arrive au bord de la rivière une bonne partie de la troupe, impatiente n'a pas attendu son retour. N'Khozé-Le-prêt-à-tout se jette sur lui. Il ne peut que l'éviter de justesse mais la brute lui arrache un lambeau de chair à la cuisse gauche. Kanthal-borol lui assène alors une solide ruade qui le jette au tapis. N'Khozé-Le fourbe reste un moment étourdi.
C'est à cet instant que paraît En-gaï sous la forme d'un aigle vocifère . Le fauve en profite donc pour se faire passer pour victime aux yeux du dieu du ciel.
« Kanthal-borol ! N'as-tu pas honte de frapper un ennemi à terre, un ennemi passablement affaibli par l'âge et les batailles pour la prédominance ? »
« Vénérable En-gaï se plaint N'Khozé-Le-prêt-à-tout cet animal rayé envahi les terres de Reine Nature et pille ses réserves, saccage le territoire de mes ancêtres. Je sais que des Vous et de la Reine il médit. Ses allées et venues pour se plaindre de moi me font tort et importunent vos majestés. Je sais aussi qu'il dépêcha des Rhinos pour me supprimer. Reine Nature je sais se plaint également de lui. Elle m'a désigné pour l'empêcher de nuire sur ses terres ».
« Arrête de mentir N'Khozé ! coupe En-gaï, Reine Nature a donné au peuple des ongulés pour mission d'entretenir ses terres. Et cela depuis que le monde est monde. Depuis que Gondwana n'est plus que la moitié de lui-même. Et, ne devrais pas t'en féliciter ? Cela ne vous procure t-il pas de la nourriture régulière ? Kanthal-borol ! Va avec les tiens et ne vous souciez plus du sanguinaire ? J'en fais mon affaire ».
Il est dit que par la suite Reine Nature dépêchât une troupe de hyènes pour veiller à la propreté des lieux. Leur action fût des ce bel aspect tondu et ces arbres épars.
Ce qui est certain, c'est que N'Khozé-Le pitoyable n'est pas mort . Il se terre et guette le moment propice pour commettre de nouvelles mauvaises actions.
Quand à Kanthal-borol je l'ai vu un jour sur une piste du parc Kruger avec sa blessure à la cuisse. La preuve.
joli conte que tu nous sers ici...
RépondreSupprimerMerci Muse pour ton passage. Et les beaux contes font les bons amis.
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