13 octobre 2012

On arrête tout.

Chers lecteurs silencieux et furtifs. 
Vous constatez que j'ai, sur vos désirs exprimés, à mots cachés, à des membres de ma famille restés au pays, obéi à vos demandes "subliminales" m'enjoignant de ne pas nommer les assassins de la nature, corrupteurs et futurs corrompus. 

 Voilà!!! c'est fait!!! Y a plus de noms, même la commune est "floutée". 

 Avant que vous ne soyez floués.
 Monsieur X....... et monsieur Y........ de la commune de A.......... vont pouvoir vous montrer de quel vent ils se chauffent.

Mais ne vous faites pas d'illusion. 
Vous aurez des éoliennes même si on vous dit que nous faisons des procès d'intention à la préfecture et à la CABA. 
Un jour elle sortirons de terre avant que vous n'ayez le temps protester. 
on vous dira : Désolés!!! 
C'est trop tard messieurs dames. 
Il fallait vous manifester avant.  

Mais lisez donc  le billet  édifiant de cet écolo-raisonnable.

Voir également le site de la mairie de Talizat avant l'implantation des "pâquerettes" .
Regardez bien les camions qui livrent le matos : tous étrangers. 
Alors quna ils disent que ça va apporter du travail sur la commune...Y a de quoi se marer.
J'aimerais connaître leur avis actuel.

Regardez aussi le dossier du parc éolien de MASSIAC..  les photos montrent les modifications profondes apportées aux petits chemins ruraux si poétiques qui seront transformés en nationales

6 commentaires:

  1. chut chut... C'est typiquement cantalien ça !

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  2. Je parle de cette manie de systhématiquement ne rien dire, rester anonyme, ne pas faire part de ses sentiments et de ses revendications, le net c'est pratique pourtant. De plus, entre gens civilisés le dialogue pourrait porter ses fruits, mais avec les contaliens rien à faire, ils sont bouchés. Ce n'est pas la première fois que l'on constate le truc.
    Bon courage Vince.

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  3. c'est à désespérer!
    merci beaucoup pour ta compassion.
    ;o)

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  4. Bonjour Vincent,

    Il se peut bien, tu as un peu de Don Quichotte, celui qui combattait les moulins a vent.

    Comme pour ton autre sujet, tu en mets le paquet et, au moins là, je te souhaite un plein succès.

    Amitiés
    Georg

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  5. Bonsoir Vincent,

    Je rebondis sur les propos de Nathanaëlle ... oui le Cantalou des plaines ou des montagnes ne dis pas grand chose. Incapable de dire mais pour médire c'est autre chose. Le Cantalou contemporain ne vaut pas celui du 19ème siècle qui "montait" à Paris pour échapper à la misère. Je me souviens de ce que me disait une Soeur dominicaine, une cousine ma grand-mère maternelle. "Ce n'était pas la misère, c'était la gêne" Tout un programme. Le Cantalou se désole de son enclavement... sa désolation, entendons ses regrets, sont psychiatriques. Le Cantal n'est pas plus enclavé que d'autres massifs qu'on peut rencontrer ailleurs, je pense à la Bavière ou à l'Autriche, par exemple. C'est une mauvaise excuse cette histoire d'enclavement. Le Cantalou ne dit rien.... ne pas déranger son quotidien. Tu dis que les commerçants de la rue des Forgerons approuvent, sans doute à voix basse, le parc éolien... comme on a laissé échapper le "train" d'Aurillac...j'entendais dire "Ah mais voyons il y a l'avion..." .... comme dans les années 60 quand Michelin et Sony ont envisagé de s'installer à Aurillac .... Pas touche à mon Aurillac.... Surtout ne rien dire en "clair"... par contre dans le col du manteau aucune difficulté à jouer les "yacafaucon-yauraitfalluque"... Je ne reproche pas au Cantalou de ne rien dire, quand il a parlé il a dénoncé le Maréchal Ney et a collaboré vaillamment avec l'occupant.... ça suffit pour meubler un CV ! Ne généralisons pas.... quand un Cantalou l'ouvre et agit positivement on lui casse les reins ... on le dénigre, on le massacre sournoisement. Il faudra écrire l'histoire de ces destins brisés, cassés, en douce. Je ne suis pas surpris de voir des Cantalous retrouver leur profil d'amnésiques et de l'omerta.... si tu veux toucher ta subvention : un conseil : écrase-toi ! Par contre les ONM décernées à des adeptes de violences sur leur personnel fleurissent ... les mouilleurs de Bordeaux refont surface, les maquilleurs de cuisine régionale, les instigateurs d'incendies volontaires sur un bâtiment de l'Etat tiennent le haut du pavé ... Pour ces gens-là aucune difficulté ... Aucun problème ! Ces lignes peuvent paraître pessimistes, brossant un tableau noir du Cantalou moyen. Ne pas généraliser bien entendu... Je préfère compter parmi mes ami(e)s dix Cantalous comme on peut les attendre : durs à la tâche, déterminés, généreux sans trop s'exposer, sincères, un peu bruts de décoffrage. Du solide.. les autres je ne veux même pas les connaître ! Vince tu connais le métier que j'ai fait ... pendant trois années dans ce département, j'ai vu le meilleur mais aussi souvent le pire .... J'avais du mal à me reconnaître ! Une bonne chose : j'ai gagné en lucidité ....

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  6. Bonsoir Vincent,

    Je rebondis sur les propos de Nathanaëlle ... oui le Cantalou des plaines ou des montagnes ne dis pas grand chose. Incapable de dire mais pour médire c'est autre chose. Le Cantalou contemporain ne vaut pas celui du 19ème siècle qui "montait" à Paris pour échapper à la misère. Je me souviens de ce que me disait une Soeur dominicaine, une cousine ma grand-mère maternelle. "Ce n'était pas la misère, c'était la gêne" Tout un programme. Le Cantalou se désole de son enclavement... sa désolation, entendons ses regrets, sont psychiatriques. Le Cantal n'est pas plus enclavé que d'autres massifs qu'on peut rencontrer ailleurs, je pense à la Bavière ou à l'Autriche, par exemple. C'est une mauvaise excuse cette histoire d'enclavement. Le Cantalou ne dit rien.... ne pas déranger son quotidien. Tu dis que les commerçants de la rue des Forgerons approuvent, sans doute à voix basse, le parc éolien... comme on a laissé échapper le "train" d'Aurillac...j'entendais dire "Ah mais voyons il y a l'avion..." .... comme dans les années 60 quand Michelin et Sony ont envisagé de s'installer à Aurillac .... Pas touche à mon Aurillac.... Surtout ne rien dire en "clair"... par contre dans le col du manteau aucune difficulté à jouer les "yacafaucon-yauraitfalluque"... Je ne reproche pas au Cantalou de ne rien dire, quand il a parlé il a dénoncé le Maréchal Ney et a collaboré vaillamment avec l'occupant.... ça suffit pour meubler un CV ! Ne généralisons pas.... quand un Cantalou l'ouvre et agit positivement on lui casse les reins ... on le dénigre, on le massacre sournoisement. Il faudra écrire l'histoire de ces destins brisés, cassés, en douce. Je ne suis pas surpris de voir des Cantalous retrouver leur profil d'amnésiques et de l'omerta.... si tu veux toucher ta subvention : un conseil : écrase-toi ! Par contre les ONM décernées à des adeptes de violences sur leur personnel fleurissent ... les mouilleurs de Bordeaux refont surface, les maquilleurs de cuisine régionale, les instigateurs d'incendies volontaires sur un bâtiment de l'Etat tiennent le haut du pavé ... Pour ces gens-là aucune difficulté ... Aucun problème ! Ces lignes peuvent paraître pessimistes, brossant un tableau noir du Cantalou moyen. Ne pas généraliser bien entendu... Je préfère compter parmi mes ami(e)s dix Cantalous comme on peut les attendre : durs à la tâche, déterminés, généreux sans trop s'exposer, sincères, un peu bruts de décoffrage. Du solide.. les autres je ne veux même pas les connaître !

    Tu sais le métier que j'ai fait. En trois ans j'ai vu le meilleur mais aussi le pire. Je n'ai pas reconnu mes congénères.... J'ai gagné en lucidité !
    Amitié !

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Vince "Africantal"