visite de Prague 11 et Konèk - Souvenirs of Praha.

 

De quoi vous parlerais-je avant de quitter nous aussi cette ville si attachante?!

Autant il est souvent intimidant de commencer une lettre, un blog, un billet, autant ça l'est aussi de refermer un bouquin qu'on a aimé, laisser sur le tarmac, un guide local intéressant (J'ai connu ça au Maroc).
Bref!! Je ne sais plus que dire avant de monter dans l'avion du retour.

Voilà!!!!!!!! L'hiver s'est installé sur Praha et la neige a recouvert le Karlov Most. Et les statues de saints n'ont plus a craindre que les touristes leur passent la main au........ Ils ont refait leur migration en sens inverse vers leur lieu de vie habituel. Les aborigènes Pragensis
peuvent enfin souffler. Merci pour la photo Micheline.


Je me bornerai à poster quelques clichés de cette villes : des photos hors sujets, des témoignages du passé tragique, des photos qui m'ont plues..... Bref, une melting-pot des "choses" qui m'ont frappées.


Ici, sur le Manesuv Most sur la la place Jan Palach une plaque commémorative atrocités commises par les nazis pendant la dernière guerre.


Là, ce "brise glaces" qui témoigne de l'impétuosité des flots de la Moldau à la débâcle printanière.

Là, sur une placette, un assemblage monumental de clés de contact ou des cadenas, peut être ceux du pont des amoureux.


Ce garde épiscopal qui semble empêcher le temps de passer sous l'arche de la tour de la vieille ville. Par contre, il prend le temps de lorgner les nennettes. Un homme est un homme!!!!!

Cette adaptation des shnellhimbiss de leurs voisins sur la place Venceslas.
Cochons rôtis à la broche s'il vous plait!!

Ces marchés de quartiers, à la Française.
On se croirait Boulevard de la Croix-Rousse, bichette!

Cette maison municipale (1905-1911) dont j'ai oublié de photographier la façade néobaroque de karel Spillar (j'ai pas dit cater pilar). En tous cas on sent la patte de Mucha, Priesler dans ce temple de la culture.


J'ai seulement immortalisé le grand escalier qu'ont dû escalader tous les pontifes du PC local, au bon vieux temps du rideau de fer. A cette époque, certains n' avaient qu'à se baisser pour ramasser les kopecks à la pelle. Ô tempore!!!, Ô mores!!!!.

Son célèbre café-restaurant Français au rez de chaussée, digne décors des Hercules Poirot.

Le style arts-déco c'est pas ma tasse de thé. Passons!!

Je n'oublirai pas non plus cette géniale statue-récup croisée dans une traboule locale.

Cette atroce frise du parc du palais Wallenstein, devant la cage des grands-ducs.
Je suis sûr que ça les effraye. Y en a qui doivent faire dans leur hulotte.
Bref c'est pas très chouette.


Je pense de temps en temps à ce pauvre policier à la tenue d'opérette, qui doit prendre la pose des heures, parfois avec une "bimbo vavavoom!!!" qui se fait photographier à ses côtés.
Y a de quoi quitter la posture "de marbre".
De quoi mettre autre chose que le bonhomme au garde à vous.


J'aime beaucoup ces enseignes sur les portes des vieux immeubles. Elle servaient à indiquer l'adresse du propriétaire à une époque où l'on ne mentionnait pas les numéros des portes.


Ainsi que cette boutique dont le propriétaire est allé se taper une pivo au restau du coin.
Cliquez pour agrandir. Vous verrez ce bric à brac.


Bon!!!! C'est pas tout mais faut embarquer.
J'ai triché je l'avoue. Ce jour là il faisait un temps de chien.


Et il fut impossible d'entrevoir la moindre parcelle de notre belle Europe sous les ailes de la Austrian-harrows. A part la mousse des chopes de bière Bavaroise de la October Fest.

Mais le coup d'œil sur l'ouest valait vraiment la peine.

Eh voilà!!! Une année presque écoulée!!!!
En attendant vos passages qui me sont chers, je vous souhaite un joyeux Noël.