Nous levons les yeux. Ha! bon! disent certains. Ca existe? répondent d'autres. Hé oui, comptez le nombre de troncs vous verrez bien. Cette blague, les guides ne manquent pas de vous la sortir à l'occasion. Faut dire que ça fait son effet.
Rafraîchis après cette odyssée montagnarde, nous visitons le célèbre célèbre pavillon de la Ménara. Lorsque ce pavillon est illuminé par le soleil couchant et que les sommets enneigés de l'Atlas se dessinent en arrière font, c'est superbe. C'est pas le cas ici. mais ça a du charme.
Ce qui en a moins c'est que certains sultans passaient de folles nuits dans ses mur. Au matin la belle était poussée dans le bassin. Sniff !!! Ne croyez pas les manuels qui vous décrivent les couchers de soleils sur les eaux limpides. les eaux provenant des oueds des montagnes sont peuplées d'une foultitude de carpes gigantesques qui, au moindre croûton de pain jeté, grouillent et brouillent une eau déjà bien trouble.
Ses eaux alimentent les innombrables bassins et fontaines de la ville et l'irrigation de l'orangeraie qui lui sert d'écrin.
Cette ville qui a donné son nom au pays a été fondée par les berbères sahariens de la tribu des Sanhadja en 1060. Son troisième souverain du règnes des almoades, Yacoub el mansour (le victorieux) termine la koutoubia et la Giralda de Séville et construit la plus grande mosquée de l'occident à RADBAT (pas celle de Bouygues) dont il ne subsiste que la tour Hassan, rappelez vous.
Notre circuit se poursuit. Faites attention en traversant la large avenue de France. Ici le piéton n'est pas le roi. Il faut être rapide.
Cette mosquée ne se visite pas, à cause de qui? Oui, LYAUTEY.
La superbe porte BAB AGNAOU (prononcer BABANIOU, ça fait plus Marrakchi) qui commande l'entrée à la mosquée EL MANSOUR (12°s) qui ne se............
Une mosquée de quartier sur la place djamâa el fna qui ne se......................... Vous remarquerez sur son sommet un "gibet". Il ne servait pas à pendre les condamnés, ni les hérétiques. On y suspendait un drapeau qui indiquait au sourds (pas aux aveugles) l'heure de la prière. Pas bête.
Nous pénétrons dans les souks. Je vous demande de "rester groupir" et d'avoir tous vos sens en éveil. Par précaution, placez vos sacs sur le devant de votre buste, on ne sait jamais. Si vous entendez crier "BALEK! BALEK!" ne réfléchissez pas, collez vous contre un mur. Ca peut venir de partout, les ânes.
Ici nous sommes dans la cour d'un caravansérail, un FONDOUK. Au rez de chaussée, se trouvent les ateliers et entrepôts. A l'étage, les salles de repos des caravaniers.
L'ombre épicée bienfaisante.
le souk du cuir. "l'a pas l'air content, celui-là".
le souk des ferronniers. Je vous l'avoue, un peu crade.
Et avant de rentrer à l'hôtel, nous visitons le quartier de la Guelize. Quoi? Ca vous dit quelque chose ce nom? Et oui. Au temps du protectorat, nous avions construit une "église". Nous passons devant le fort bel Opéra qui sert de cadre à de nombreux festivals fréquenté par la J-set mondiale.
Ce soir, restaurant berbère en ville. Miam!!!
Mais alors ils sont exécutés où les condamnés aujourd'hui...
RépondreSupprimernul ne le sait véroi. C'est un secret.
RépondreSupprimerBonsoir Vincent!
RépondreSupprimerC'est gentil de ne pas m'oublier!
J'ai commencé à apprendre la danse orientale et ça me plaît bcp!!! :)
Gros bisous
comment puis-je t'oublier Tatiouchka
RépondreSupprimerc'est toi qui est trop gentille.
bisouxxxxxx
belle image de l'homme vendeur de l'eau, je ne l'ai pas prise parce qu'on m'avait averti qu'il veut des sous, puis c'est surtout spectacle, pas de vrai vie, merci donc pour nous le montrer, c'était quand même "colorfull" belles images, et si différents des miens! j'adore la ruelle "propre" couverte en partie, ce n'était pas facille de prendre des images sur le marché étroit, n'est pas?
RépondreSupprimeron peut trouver mes images sur MAROC mais je n'ai pas encore tout fini, à mon site image flickr:
http:flickr.com/photos/joyoflife/sets/
Donner des sous, il faut toujours en donner si tu veux photographier. Je pense à la fortune que tu as du y mettre.
RépondreSupprimerpour les porteurs d'eau, ils existaient autrefois mais avec des costumes différents et moins colorés.
Pour les photos du marché étroit, Le souk, c'est vrai qu'entre les gens qui passent devant, les anes qu'il faut laisser passer, et le manque d'éclairage, c'est dur.