25 août 2011

la Corse du Sud - 2° - visite d' Ajaccio.

Pour visiter Ajaccio il est indispensable de garer sa voiture sous la grande place, place du général De Gaulle, surmontée de la statue de l'Empereur et ses frères "Romanisés". Grandiose.



Les rues de la ville trop petites et encombrées ne sont pas souhaitable.
Nota:
Ce parking est utilisé par les aborigène, à leur convenance. Ne vous offusquez pas de voir des voitures stationnées même dans sur les rampes d'accès. Le corse fait ce qu'il veut dans sont pays.


J'aime cette composition d'un grand classicisme et d'une "grande sobriété".

L'esplanade permet de contempler le front de mer.

Le golfe d'Ajaccio vers Porticcio.


Ne restons pas en plein soleil. Entrons dans les ruelles

Mais contournons la vieille ville par la citadelle et constatez que les plages ne sont pas encombrées comme sur le continent.
C'est un grand avantage pour les vacances au bord de la mer.



de la citadelle on perçoit la tailles des monstres des mers qui stationnent.


On ne peut pas parler de fraicheur des vieilles ruelles. Le soleil est au zénith.

La maison de madame Mère, fermée ce jour là!
Les touristes Américains ne semblaient pas comprendre.

Et on les comprend.



Devant la porte de la maison "impériale" le buste du roi de Rome joue à cache-cache dans les feuillages des daturas.








Le gars Napoléon est partout dans cette ville. Dire qu'il n'y a passé que quelques années de sa vie et qu'il n'était pas très apprécié par les corses est un doux euphémisme. L'avenue Antoine Séraphini offre le double avantage, de pouvoir se rafraichir dans un bar et de faire des emplettes: Souvenirs essentiellement.



Par rapport aux années où j'étais venu au dé but des année 80, le port a subi un "gros dégraissage".

Il ne reste plus que quelques pointus aux amarres.


Ils sont toujours aussi couleur locale.

Un sujet à tableau, peut être?


Les eaux du port de pêche sont, il faut le reconnaître, d'une grande propreté.


On peut même voir le menu fretin.


Pour le moment, pas trop de monde.

Ca n'est que le début de la rue.

On aimerait bien se trouver derrière ces jalousies.

Tien! une traboule!

La rue est encombrée par une nuée d' italiens machos-vavavoom et bimbos-blinbling à la suite d'un laché de touristes par un bateau de croisière.

Encore une traboule.

A la faveur d'une légère courbe de la rue, nous accédons enfin à un peu d'ombre.


Le musée, palais du cardinal Fèsch, toton de Napoléon est également fermé. Pour la petite histoire, dans mon petit village beaujolais, nous avons une rue à son nom. En effet ce religieux de haut rang a été Primat des gaules. Et il "Chapeautait" une institution religieuse dans le village pour jeunes fille de bonnes famille .

Plutôt que de longer la mer pour vous rendre aux îles sanguinaires, je recommande d'emprunter une route de corniche qui débute à la hauteur du palais de justice et rejoint la côte par le boulevard "madame Mère". C'est moins encombré. On perd moins de temps dans les bouchons et on arrive un peu avant les typiques cimetières locaux.

8 commentaires:

  1. j'ai visité Ajaccio en 89, j'ai quelques photos qui ressemblent aux tiennes :)

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  2. hello WIC!
    En fait cette ville a assez peu changé par rapport à d'autres villes. Seul le port de pêche est différent. beaucoup moins de petits bateaux.
    bises

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  3. Bon si on supprime Napoléon et les touristes il reste quand même de belles bâtisses et la mer...

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  4. ah mais Thérèse!! Pourquoi veux tu supprimer les touristes et Napoléon? Les bimbos devraient seulement y aller sans leurs machos de maris et je reste un "fanatique modéré" de l'empereur.
    Oui Ajaccio et la corse sont belles.
    bises

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  5. Bonjour Vincent,

    Tu m'as donné envie de revenir à Ajaccio ... tu sais que je suis interdit de séjour MDR ! Ce que tu dis des Corses et du stationnement est tout aussi valable du stationnement et des Cantalous (d'ailleurs ne dit-on pas "Le Cantal ? La Corse sans les bombes !".) Napoléon n'y était pas aimé, c'est un défaut de reconnaissance car si à une certaine époque la fonction publique a été un havre de recueil pour les Corses, ils le doivent à Napoléon. Qui connaît dans le monde Paoli ? Peu de personnes alors que Napoléon, en bien ou en mal, l'est et là est l'essentiel. Quant à moi je ne suis pas un "fanatique raisonné" mais un "admirateur raisonné". Car depuis lui quoi de neuf ? Mis à part de Gaulle (qui n'aimait pas l'Empereur... à ce niveau pas de place pour deux !) Sinon ton reportage fait du bien ! ....

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  6. ok JML parle nous de Paoli!
    Non non! les cantalous ne se conduisent pas comme les corses. Tu vas donner une mauvaise opinion de nous.
    Peut être la façon de conduire à donf sur les petites routes? Y a pas de quoi fouetter un chat.
    ;o))

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  7. Quand j'irai en Corse, si j'en reviens je vous parlerais de Paoli. Ils étaient amis au départ mais là aussi pas de place pour deux !

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  8. La plus belle partie de la Corse est au Nord, par exemple tu vas au Col de Vizzavona. Là, tu laisses ta toto et tu fais une petite randonnée sur le GR20 direction Cascade des Anglais. C'est inoubliable.

    Georg

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Vince "Africantal"