Aline, Patrick, Paul et les autres.... Merci.

Bonjour!!!

Merci à tous pour vos passages qui me mettent du baume au cœur. Vos commentaires me touchent vraiment. Même vos passages discrets. Je sais que certains se glissent entre mes lignes comme des petites souris. Sans laisser de trace. Mais je sens leur présence rassurante.

Je vais laisser une peu de temps au temps (comme disent les Lyonnais de souche) pour me consacrer à mon jardin, car la nature se réveille en ce moment. Je veux qu'il soit présentable pour "le grand débourrage".


Mais aussi pour essayer de concrétiser ce à quoi je pense depuis longtemps et que nombre d'entre vous me demandent. Je veux parler de mes mémoires.



Oh!!!! D'aucun dirons que " les mémoires d'un âne" ont déjà été écrites. Avouez que c'est un peu à la mode. Non? n'avez vous pas lu l'excellent "chagrin d'école"? Quel homme politique en vue ne se dit-il pas ancien cancre?

Le commentaire qui m' a fait le plus plaisir celui de la fille d'une voisine de mes parents. Je l'avais connue alors que nous étions pré-ados. Nous nous étions perdus de vue. En début d'année je lui avais donné le nom de mon blog qu'elle a visité. Il y a quinze jours elle me disais son plaisir de m'avoir lu. "Je ne te connaissais pas comme ça" m'a-t-elle dit.

Depuis, elle me laisse des commentaires, des mots qui réchauffent. merci Aline.

Mais je ne voudrais pas que vous oubliiez les deux livres que je vous ai recommandés. Ceux de mon nouvel ami Paul Bélard : Moisson d'enfance et La ferme aux écrevisses.




Moisson d'enfance dont je vous ai peu parlé, est un régal de bons mots et une cascade de situations cocasses. Je pense en particulier au manque des "commodités" dans les fermes autrefois et aux conséquences de cet état de fait. Paul nous débite une tirade "bien torché" autrement plus évocatrice que celle du nez de Cyrano: L'art de choisir un "support" lorsqu'on n'a pas de papier sous la main. Ceci dit avec une grande retenue et énormément d'humour.

Je signale aussi des passages très instructifs sur la vie dans nos campagnes à la sortie de la guerre : les travaux des champs, la vie dans les burons, ces colonies de vacances pour vaches en altitude.

Mais rassurez vous. Si je "poste" moins, je serai toujours là pour répondre à vos commentaires et signes d'amitié. Je vous donnerai de mes nouvelles. Parce que vous le valez bien!!!!!!!